J’ai adoré écrire ce premier roman. J’y ai pris beaucoup de plaisir. Mais ça ne veut pas dire que ça a toujours été facile ! 

La première difficulté pour moi, a été la gestion du temps. Je suis du genre impatiente. Quand j’ai une idée en tête, je veux que ça aille vite, que ce soit en place rapidement. Écrire un livre, c’est tout sauf compatible avec de l’impatience ! 

Il a fallu que j’accepte que ça puisse être long. Que j’accepte qu’il ne fallait pas confondre vitesse et précipitation, au risque de faire quelque chose de mauvais. Que j’accepte qu’il fallait se laisser du temps et laisser du temps à l’histoire. 

Autre difficulté et pas des moindres : je suis passée par deux phases de doutes. La première au bout de 50 pages, où passée l’euphorie des débuts, je n’avais plus envie d’écrire… Puis la deuxième ou j’ai décelé des incohérences dans mon intrigue que je ne parvenais pas à résoudre. Il n’était pas question d’abandonner ! Alors j’ai écris. Encore et encore. Et c’est en écrivant, même quand je n’avais pas envie, même quand c’était mauvais, que j’ai surmonté ces deux phases. 

Aujourd’hui, j’ai accepté que je ne pouvais pas combattre le temps, et j’accepte que la tâche puisse être difficile. 

Accepter, pour que tout devienne possible. 

Comme de publier un premier roman. 

Et d’en écrire un deuxième.

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Marie Nomis - Actualités

Marie Nomis, 34 ans – Lille

Bienvenue sur l’espace actualités ! Ici, je vous parle de mon premier roman, des étapes de la création jusqu’à son envol en tant que livre. Mais aussi de mon processus d’écriture, de mes doutes, de mes difficultés.

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